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La vie est une sorte de cadeau qu'on possède un petit moment ......seulement " .
Herbjorg Wassmo ( écrivain norvégien )
Quel cadeau de vie
T'ai-joffert aujourd'hui ?
Quel sourire ?
Quel geste ?
Quelle acceptation ?
Quelle confirmation ?
Ai-je offerts ?
Ai-je reçus ?
Ai-je révélés ?
Qui , chaque jour, peut donner
A celui qu'il rencontre
Le sentiment d ' accroître sa vie,
D 'embellir son regard,
D 'accéder à la parole,
De se sentir plus agréable,
Plus disponible ?
Pourrons-nous projeter
De mieux nous accepter,
D'oser nous aimer
Et d 'aimer constamment ?
Ainsi, pourrions-nous de venir
" semeurs de vie " !
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Est-ce que ce sera toujours pareil
Cette meurtrissure, et pour tout dire,
Ce désenchantement ?
Il a de jolies phrases bien balancées,
Des arguments flatteurs,
Un sourire inconnu qui me nargue,
Du mystère plein les mots ....
C'est tellement simple ce que je demande,
Tellement simple et compliqué à la fois !
Un jean , un tee-shirt qui laisse les épaules découvertes,
Du soleil dans les cheveux,
Et cela suffit pour être jeune !
Le temps ne m ' a pas donné d'âge....
Il m' a traînée jusque là
Fixant ma jeunesse à mon corps,
A mon esprit,
A ma nature .....
Trop émotive , trop sentimentale,
Sensible à chaque nuance...
J'aspire seulement à des bribes de bonheur,
Et je donne...je donne....
Mais jamais ne reçois .....
Je suis si fatiguée
Toujours marcher,
Toujours marcher
Seule,
Et
Encore seule.....
Si tu voulais ....
Mais que t'importe ........................JOELLE
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Qui pourra m'empêcher d'écrire comme bon me semble et même oser prétendre que
je ne suis qu'ennui......Ce besoin de vider mon "pensoir" et comme je tremble chaque
fois que j'exprime mon ressenti l'accrochant à mes rimes ! Laissez-moi ,je vous prie
exercer ce pouvoir des mots !
Je pleure de joie....je n'écris pas de joie : une main impatiente ne saurait tenir la plume !
Ma joie, elle va à tous ceux qui me voient, me côtoient....
Ma joie, c'est mon rire en cascades, c' est la fredonne sur le bout de mes lèvres...
Elle est en permanence l'amie du quotidien....
Elle rythme les veillées prés d'enfants démunis, car eux ne savent pas les états de mon
âme......ils rient avec moi, ils jouent avec moi, ils chantent avec moi.......elle est bien là,
ma joie !
Mais la vie en dehors, est une autre chanson . C'est elle qui ponctue ma prose autant
que mes vers .
Qui pourra m'empêcher de livrer mes pensées quand le coeur se fait lourd , qu'il faut
le libérer ? vous m'avez toujours dit : " ici, on ne juge pas "......
Alors en tout confiance , je poste mes émois !
" Ils vont toujours en duo, dans la vie les masques de la comédie " !
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Je marche sur les chemins de nulle part
Vers des lieux inconnus
Où j ' ai soif d ' aventure....
Le temps ne m'a jamais fait part
Des rides qui viendraient souligner
L ' accent de mon regard
Et falsifier ma peau ...
Il a fixé ma jeunesse à mon corps,
A mon esprit,
A ma nature...
Je marche avec le vent ou contre lui,
Il est de mon voyage
Et se fait alizé
Dans mes nuits de bonheur,
Vient battre mon visage
Quand éclate l ' orage....
Je marche sous un ciel pur
Affichant son azur
A l ' infini...
J ' appelle les nuages
Pour freiner le soleil
De ses ardents rayons...
Point de terres hostiles...
Sur la mer....quelques îles ...
Et l ' odeur du jasmin,
Des fleurs de mon jardin...
Je marche sur le sable blanc
De rivages incertains...
J ' affronte les vagues de l'océan...
Je vais vers demain...
Je marche vers celui qui m'attend
Sur ces chemins de nulle part,
Je cours vers les désirs brûlants
En m'éloignant de mes cauchemards...
Oh ! temps ! suspends mes heures tristes
Et guides-moi vers ces possibles,
Si quelque part, l ' amour existe,
Portes mon âme à cette cible
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Alger , ma ville blanche
Quartiers, parfums d' enfance...
La peau cannelle sucrée
Des enfants qui jouaient
Dans ce jardin d ' Essai,
Je m ' en souviens Alger !
Les boîtes de sardines
Que d ' un fil je traînais,
Les morceaux de badines
Que mon père me taillait ,
Ils revivent quelquefois...
Alger , tu restes en moi
Et mon dernier sourire
Ne sera que pour toi,
Quand à l ' 'ultime soupir ,
Tu ne le verras pas....
Puisque tu m' as vue naître ,
Je te dois mes prières,
Je reviendrais peut - être
Et je prie pour ce faire....
Alger , ma ville blanche ,
Ma rue de la gaieté...
Je m' balance sur une planche,
Et déjà je chantais....
Tiens ! ma rétine est voilée...
Je t'aime tant Alger !
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